Finnegans Wake nie jest powieścią, nie ma nic wspólnego z literaturą. To dzielo graficzne, monumentalne i doskonałe. Pomysł japońskich zwojów choju-giga. Tylko dwa kolory. Czerń i biel. Zamiast pociągnięć pędzla i ołówka, zamiast plam i cieni - 26 znaków alfabetu łacińskiego.      

To nie francuski Antonina Artaud'a odwrót od pisanych znaków - powrót do Homera, wyśpiewywanie, wykrzykiwanie tekstu, uderzanie laską w podłogę, pokrzykiwania widzów.

To odrzucenie literatury, słowa i powrót do obrazu. Tyle i aż.

Finnegans Wake n'est pas un roman, il n'a rien à voir avec la littérature. C'est un œuvre d'art graphique, monumental et parfait. L'idée des rouleaux japonais choju-giga. Deux couleurs seulement. Le noir et le blanc. Au lieu de pédales et de coups de crayon, au lieu de taches et d'ombres, 26 caractères de l'alphabet latin.      
Ce n'est pas le recul du français Antonin Artaud par rapport aux caractères écrits - un retour à Homère, à la psalmodie, au cri du texte, à la frappe du sol avec un bâton, au cri du public.
C'est un rejet de la littérature, du mot, et un retour à l'image. Autant et aussi loin.